Vulture Culture

Vulture+Culture+The+Alan+Parsons+Project++VultC’est la première chose à laquelle j’ai pensé ce matin

 

Ce matin, en allant au boulot, je me suis prise une claque.

J’ai lu un article concernant la fin des Virgin Megastore, en particulier celle de celui des Champs-Elysées à Paris.

Ca m’a donné la nausée.

Et ça m’a fait réalisé pourquoi je n’aime pas les soldes et les grandes messes commerciales en général.

Les gens se comportent comme des charognards, s’arrachant les objets comme si leur vie en dépendaient.

Le pire dans tout ça, c’est la plupart des choses que les gens s’arrachent, pour lesquelles ces personnes se battent, ça ne leur sert à rien à eux, personnellement.

Tout ça est revendu à leur profit, avec un prix multiplié par 5 , voire 10.

On voit ce phénomène se multiplier de plus en plus, lors des sorties des collections faites par des grands noms de la haute couture chez H&M, lors de la sortie de certaines palettes de maquillage chez Urban Decay/ collections de vernis chez OPI, certains grands événements sportifs ou concerts, lors de la sotie du dernier IPhone/samsung …  les exemples sont légions

La société actuelle devient une société de pure spéculation.

On crée un besoin, on fait monter la pression, on relâche le produit, les premiers arrivés sont les premiers servis et certains en profitent pour mettre la main sur l’objet de toutes les convoitises, sachant qu’ils trouveront des gogos prêts à tout pour le posséder.

Avant, quand on désirait un objet, quel qu’il soit, on prenait le temps d’économiser, on prenait le temps pour l’avoir et, quand, finalement, on pouvait se l’offrir (ou se le faire offrir), c’était une vraie joie de l’acquérir.

Maintenant, on vit dans une société où les possessions doivent être immédiates, une société du « posséder tout, tout de suite ».

Beaucoup de monde ne vit plus que pour posséder le dernier objet à la mode, celui qui attisera les regards envieux et jaloux des autres.

Et ça me désole et me révolte profondément.

Après tout, on n’emporte pas ses possessions dans sa tombe …..

 

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Halo … mais halo quoi !?,

…   Et même  pas honte pour le titre !

Sur Youtube, je regarde beaucoup  les vidéos de maquillages.

Une couleur pour la paupière mobile, une pour le creux, une pour le coin externe, une pour le coin interne, une sous le sourcil, une pour estomper, un bronzer  pour faire du contouring, un highlighter pour éclairer le visage  ….

Je les regarde, fascinée,  jongler avec leurs pinceaux et leurs fards et je me dis souvent « Tiens, je vais essayer de faire ça moi aussi! « 

Les maquillages ressemblent souvent à ça sur les vidéos :

Au final, devant ma glace, ça finit  invariablement comme ça :

Eh oui, je ne suis pas douée pour jongler avec tout ça !

Je n’ai pas pour autant renoncé à me maquiller mais je me contente de faire des halos.

Un halo, c’est mettre un seul fard sur la paupière mobile et estomper un peu les bords.

C’est tout.

De temps en temps, je fais du bi-colore avec un autre fard sur la partie extérieure, ou d’un trait de liner ou de crayon estompé  selon mon humeur mais pas plus.  Mon indispensable, c’est le mascara (et un coup de gel transparent sur les sourcils)

Sur le visage, j’ajoute un coup de blush sur mon fond de teint, voire, dans les cas de sale tronche extrême, un peu de bronzer.

Le correcteur et l’anti-cernes, c’est rare.

Le rouge à lèvres, je le mets dans le tram en partant au boulot

Vous me direz : « Où veux-tu en venir avec tout ça ?

En fait, je n’ai pas envie de me prendre la tête le matin, j’essaye juste de me donner bonne mine (ou de ne pas avoir la tête d’une déterrée), je ne me prépare pas pour un défilé de mode ou pour un shooting avec un photographe. Je préfère le simple, rapide et efficace.

  Je me rends compte aussi que, grande consommatrice de vidéos de maquillage sur Youtube pendant longtemps, je les délaisse de plus en plus.

Je ne me reconnais pas dedans.

Les maquillages proposés (très élaborés) , les produits utilisés (très souvent chers et qui ne me conviennent pas) dont les revues éclosent partout suivant la mode du moment , tout cela commence à me laisser froide, voire à m’agacer un peu.

Les vidéos que je regarde le plus actuellement sont celles sur les tops/ flops, les produits finis (ça peut donner des idées) et surtout les vidéos de Lisa Eldridge,  une maquilleuse pro anglaise dont l’approche simple et  pleine de bon sens du maquillage sont u délice à regarder.

Je sais que certaines vont me lapider à coup d’illusions d’ombres de Chanel ou de LipButter de chez Revlon ou, pour les plus remontées, à coup de boxes-beauté …

Ce n’est pas grave :  comme je l’ai déjà dit précédent :  « Keep calm, it’s only make-up « 

😉

Et pour revenir à ma réflexion de départ :

DEPECHE MODE- Halo (1990)

Je ne dois pas être une vraie fille (mauvaise foi inside)

 (Nota :  oui, je sais, je fais toujours une fixette sur Day of the Tentacle mais c’est pas ma faute, pour moi, c’est le jeu le plus mieux du monde!)

Je me rends compte que, au fond de moi, je ne dois pas être une « vraie fille ». Je devrais plutôt dire que je ne suis pas « Girly » pour 2 ronds. 
D’accord, je concède que j’adore les romans à l’eau de rose et les films bien romantiques mais y’a des limites à ce que je peux endurer.

LES CUPCAKES  

 Cette mode pâtissière me laisse totalement de glace.
C’est quoi, tout d’abord, un cupcake (connais ton ennemi) ? Les cupcakes, ce sont ces petits gâteaux au glaçage et à la décoration colorés qui nous viennent d’outre atlantique.
Il paraît que c’est à la mode, que c’est bon …. 
J’ai testé pour pour mourir idiote, j’ai détesté : ça m’a tellement écœuré que je n’ai pas réussir à le finir (c’est pourtant pas bien gros) 
Pour moi, ça se résume donc à un gâteau surmontée d’une couche de crème et/ ou de glaçage sucré à mort et bourré de colorant. 
Rien que d’en voir, je sens la crise de foie et les caries arrivées au grand galop. 
LES PAILLETTES  

Les paillettes, en maquillage, on a du mal à y couper. Vernis, fards à paupières, blush, rouge à lèvres, la paillette est partout.
Dommage pour moi, j’aime pas. 
Les vernis pailletés, c’est galère à enlever sans y passer la bouteille de dissolvant
Les fards à paupières pailletés, ça chute tellement que tu en as dans les cernes, voire jusqu’aux joues (et avoir les cernes façon boules à paillettes alors que tu fais tout pour les cacher, c’est pas top)
Dans les poudres et blush, ça sublime les brillances de ta peau grasse que tu cherches absolument à cacher.
Pourtant, j’aime bien le glam rock (on fait pas plus paillettes et lamés que ça) :

 

 LE GLOSS

 Je l’ai déjà dit plusieurs fois sur ce blog : je n’aime pas le gloss. 
Il parait que c’est sympa pour faire des lèvres naturellement brillantes mais moi je trouve que, la plupart du temps, ça fait « j’ai trop mangé de confiture et je m’en suis foutue partout ». 
En plus, ça colle, ça a souvent un goût infâme et ça ne tient pas plus 10 minutes. 
Si tu veux connaître les autres raisons, vas faire un tour ICI
 LA LAINE MOHAIR 
(fallais bien que je parle quand même un peu de laine, je suis une tricot-pouffe après tout) 
 
 Le mohair, c’est doux, c’est chaud, c’est moelleux, c’est idéal par les temps qui courent.
Certes.
Mais quelle galère à tricoter !
Le fil est fin, fragile (il se casse comme un rien), pelucheux et malheur si vous faites une erreur : impossible à détricoter.
Je me suis fait un boléro avec une laine de ce type : je n’ai jamais été aussi contente de le terminer! 
Plus jamais ça! 
Pour conclure, je vous fait partager une pensée philosophique issue des réseaux sociaux :
Une vraie femme a toujours une maison propre
et bien rangée, le panier à lessive vide et pas de repassage qui
s’entasse, un bon petit plat qui mijote et les enfants impeccables. Elle
est maquillée, bien coiffée, parfumée tous les jours. Elle mange
beaucoup de légumes, évite les pizzas, ne boit pas et se comporte
parfaitement. Copie ce statut si toi aussi, comme moi, tu commences à
croire que tu es un homme !
  

Comment échapper au retour du marronnier des régimes

En ces temps de régimes qui fleurissent à tout va pour être sexy en maillot (c’est la période du marronnier des régimes dans les magasines), il est temps pour moi de faire un article à contre-courant et de faire une piqûre de rappel sur un bon moyen de mincir. 

Il faut se respecter soi-même et savoir écouter son corps et sa faim. 

Ceci est un article paru dans
psychologie magazine et écrit par le Docteur APFELDORFER qui permet
d’avoir les grands principes de la RA façon GROS. J’avais envie de vous
faire partager cela.

Dix conseils pour manger à sa faim… et pas plus !

En
finir avec les excès sans renoncer au plaisir ? Ne plus confondre
besoin de manger et envie de manger ? C’est possible, avec cette méthode
à suivre pendant dix jours (puis à appliquer toute sa vie !).
Explications et travaux pratiques avec le docteur Gérard Apfeldorfer,
notre spécialiste du comportement alimentaire.
L‘expression
« avoir les yeux plus gros que le ventre » illustre avec éloquence ce
comportement qui fait que l’on se dit souvent à la fin d’un repas, comme
le corbeau de la fable, que l’on ne nous y prendra plus. Une promesse
qui ressemble aux résolutions du premier janvier, sincères et vertueuses
mais rarement tenues. Pourtant, en matière de comportement alimentaire,
la modération est la seule alternative sérieuse aux ravages des régimes
draconiens ou à l’insouciance qui autorise tous les excès, dangereux
pour la santé.
Pratiquer
la modération passe par une étape clé : reprendre contact avec ses
sensations corporelles. « Ce qui signifie, explique Gérard Apfeldorfer,
psychiatre et psychothérapeute, être capable de faire la différence
entre deux sortes de faim : la faim physiologique et la faim
psychologique. » La première est un besoin de nourriture pour le corps
(d’énergie, de certains nutriments) ; la seconde, une envie de manger
qui agit comme un mécanisme de défense contre des émotions
incontrôlables, négatives ou positives. Il est indispensable de savoir
faire la distinction entre les deux, pour manger de manière juste. Sans
excès ni frustration. Une fois la faim physiologique identifiée, reste à
repérer son seuil de rassasiement, ce point d’équilibre entre le
plaisir de manger et la satisfaction des besoins de notre organisme.
Soyons
honnêtes : si les principes à respecter sont simples, leur application
au quotidien exigera de vous, dans les premiers temps, des efforts et
surtout de la patience. Ce programme sur dix jours, qui repose sur dix
points clés, est une première prise de conscience, à poursuivre sans
relâche jusqu’à ce que ce comportement vous soit naturel.
L’originalité de cette méthode ? Vous rendre seul juge de votre confort et de votre bien-être alimentaire.

1. Ressentez la faim
Essayez
de ne rien manger pendant quatre heures. Si cette idée vous effraie, il
se peut que vous ayez peur d’avoir un malaise. Vous pourrez vérifier
concrètement qu’il ne se passe rien de dramatique ! Si vous ne ressentez
jamais la sensation de faim, il se peut que vous mangiez « en avance »,
c’est-à-dire que vous surmangiez pour juguler votre peur du manque ; il
se peut aussi que vous ayez totalement perdu le contact avec vos
sensations alimentaires. Si, à l’inverse, vous avez tout le temps faim,
vous confondez peut-être faim physiologique et faim psychologique.
Les
manifestations de la faim diffèrent d’une personne à l’autre. Parmi les
plus fréquentes : une sensation de faiblesse (manque d’énergie, petits
vertiges) et un trouble de l’humeur (irritabilité).
> Le
conseil : le but est de nouer une relation sereine à la nourriture.
Pendant ce petit jeûne, vaquez à vos occupations sans guetter les
signaux de votre corps, mais en les laissant venir à vous.

2. Installez une routine
Pour
ressentir physiquement la faim puis la satiété, vous devez en faire
régulièrement l’expérience. Prenez vos repas à heure fixe et le même
petit déjeuner tous les matins. Après dix jours, vous devriez ressentir
la faim juste avant l’heure de manger, mais aussi mieux percevoir votre
seuil de rassasiement.
>
Le conseil :évitez les saveurs nouvelles. Il est plus facile de repérer
son seuil de satiété avec des aliments familiers.

3. Concentrez-vous sur le goût
Prêtez
attention aux premières bouchées. Ce sont elles qui nous renseignent
sur la saveur de l’aliment : est-il salé ? trop sucré ? amer ? fondant ?
est-il bon ou médiocre ? Cet « arrêt sur saveur » est essentiel car
nous fantasmons le goût des bouchées suivantes. Ce qui explique que l’on
puisse avaler jusqu’à la dernière bouchée un gâteau au chocolat
médiocre parce qu’on le fantasme délicieux. Contrairement à notre sens
gustatif, notre imaginaire ne connaît pas de lassitude. Lorsque l’on
prête réellement attention au goût, vient le moment où il y a
fléchissement du plaisir à manger. Le goût a changé, on peut s’arrêter.
>
Le conseil : prenez de petites bouchées. Utilisez vos dents, votre
langue et votre palais. Posez vos couverts pendant que vous mastiquez.

4. Ralentissez
Il
faut à notre organisme entre quinze et trente minutes pour que les
signaux de rassasiement soient perçus et enregistrés. Le message entre
estomac et cerveau n’est pas instantané, certains enzymes impliqués dans
le déclenchement de la satiété ne sont libérés qu’une trentaine de
minutes après le début du repas. En mangeant trop vite, on a toujours
tendance à surmanger.
>
Le conseil : étirez votre repas sur au moins une demi-heure. Que votre
nourriture soit bonne ou médiocre, dégustez-la en gastronome, avec
lenteur.

5. Faites une pause au milieu du repas
Interrogez-vous.
Avez-vous toujours très faim, moyennement faim, presque plus faim ?
Pour vous aider, utilisez l’échelle de rassasiement (lire encadré
ci-contre). Si vous vous sentez repu, arrêtez-vous là. Même si vous
pensez qu’il vous reste de la place pour le gâteau au chocolat.
Dites-vous que vous l’apprécierez encore davantage plus tard (vous ne
vivez pas au milieu du désert, il y a des pâtisseries partout !). En
revanche, si la faim vous tenaille encore, poursuivez votre repas.
>
Le conseil : interrogez-vous couverts posés et bouche vide. Le meilleur
critère indiquant que l’on est modérément rassasié est le plaisir que
l’on prend à manger : quand il commence à faiblir, c’est que l’on a
assez mangé.

6. Chassez les parasites
Le
zen dit : « Quand vous mangez, mangez ! Quand vous lisez, lisez ! »
Cette philosophie, basée sur l’importance du moment présent, trouve
toute sa pertinence ici. Vous êtes à table, devant votre assiette.
Chassez les parasites autour de vous. Ne lisez pas le journal, ne
regardez pas la télé, ne vous lancez pas dans un débat politique
passionné. Soyez à ce que vous faites : simplement manger. Evidemment,
si vous déjeunez en groupe, pas question de vous isoler comme un
bénédictin.
>
Le conseil : pratiquez des pauses régulièrement. Un temps pour parler
et écouter, un autre pour vous nourrir : peu à peu, cette alternance se
fera naturellement.

7. Pratiquez la modération
Il existe trois moyens simples pour manger avec mesure et conscience.
Manger
de tout, lentement, en vous concentrant bien sur la saveur des
aliments, et laisser l’excédent de nourriture dans votre assiette.
Réduire la taille de vos portions de départ et vous interroger en cours de route sur vos besoins.
Réduire
le nombre de plats du repas (cela vaut surtout pour les gros mangeurs)
ou ne prendre qu’une seule portion de chaque plat (pour les
grignoteurs).
> Le conseil : acceptez les temps morts entre les plats.

8. Identifiez vos envies
Vous
êtes à deux doigts de vous jeter sur un paquet de cookies… Pourquoi pas
? Mais avant de passer à l’acte, interrogez-vous : est-ce de l’envie ou
de la faim ?
Si
c’est de la faim, mangez. Sinon, demandez-vous ce qui motive votre
envie. A ce moment précis, êtes-vous triste ? stressé ? en colère ?
euphorique ? Avez-vous besoin de réconfort ? En effet, nos pulsions et
nos fringales sont souvent le signe d’une perturbation d’ordre
émotionnel : nous mangeons pour éviter d’être trop envahis par une
émotion. Qu’elle soit positive ou négative.
Laissez
venir les réponses sans les trier. Ensuite, buvez un verre d’eau, allez
faire un tour, passer un coup de fil. Il s’agit de mettre votre envie à
l’épreuve. Si elle perdure, mangez ces biscuits avec plaisir, sans
culpabilité. Il y a de fortes chances pour que le travail préalable sur
vos émotions vous aide à rester dans les limites du raisonnable.
>
Le conseil : à chaque « crise de tentation », essayez de noter sur le
même carnet les émotions qui y sont associées, sans les censurer.
Peut-être finirez-vous par remarquer que ce sont souvent les mêmes qui
reviennent.

9. Ne mangez pas pour plus tard
La
peur du manque, la crainte des lendemains poussent à manger comme si
l’on faisait des provisions « au cas où »… Cette peur, caractéristique
des tempéraments anxieux, est souvent induite par les régimes. Leur
violence pour le psychisme et l’organisme est telle que l’on s’en défend
en accumulant la nourriture, en « sur-mangeant ».
>
Le conseil : revenez au moment présent, demain est un autre jour. Ici
et maintenant, quel est le degré de votre faim ? Mangez uniquement en
fonction de cette donnée. Souvenez-vous, il y a des pâtisseries partout…

10. Soyez seul juge de vos besoins
Manger
pour faire plaisir, se resservir pour ne pas vexer, engloutir son
assiette sans lever le nez pour se protéger d’un climat agressif… Le
groupe fait facilement émerger des comportements dysfonctionnels. C’est
pourquoi il est primordial de rester branché sur ses besoins réels. Ne
tenez pas compte des injonctions des uns et des autres, gardez votre
cap. Evaluez votre satiété, arrêtez ou continuez même si vos compagnons
font l’inverse. Quoi qu’il arrive, restez toujours centré sur vos
sensations corporelles.
>
Le conseil : si vous avez envie, une fois de temps en temps, de faire
un vrai repas de banquet, duquel vous ressortirez avec la sensation
d’avoir effectivement trop mangé, faites-le sans hésitation ! Vous êtes
dorénavant dans une dynamique qui vous permettra de vous réguler les
jours suivants.

EVALUEZ VOTRE APPETIT
Avant de manger, puis tout au long du repas, écoutez votre faim en vous situant sur l’échelle suivante :
De 1 à 3 : Vous pourriez dévorer un bœuf !
De 3 à 5 : Vous avez faim mais sans plus.
De 5 à 7 : Vous pourriez vous arrêter là.
De 7 à 10 : Vous n’avez plus faim mais il vous reste un peu de place…
A partir de 10 : Votre ventre va éclater !
Si vous êtes à 3, vous n’avez probablement plus besoin d’un volume important.
A
4 et 5, essayez de ne plus vous resservir, une dernière bouchée
savourée « en conscience » devrait vous permettre de vous arrêter en
douceur.
A partir de 6, vous êtes en surconsommation, mais ne culpabilisez pas, il faut du temps pour remettre les pendules à l’heure.
A
un moment donné, on peut avoir faim ou bien avoir juste envie de
manger. Il n’est pas toujours facile de faire la part des choses. Le
besoin de se réconforter avec un peu de nourriture est légitime, le but
n’est pas de devenir une machine parfaitement huilée, mais une personne
plus consciente, et donc plus libre dans ses choix.

Source : Psychologie magazine 
A bon entendeur ….

Défi du lundi : mes bêtes noires !

Ma beauty propose des défis du lundi et je dois bien avouer que celui-là (ma liste noire) tombe à point!
Ces derniers temps ont été riches en déception cosmétique (j’en ai profité pour faire le tri dans mes tiroirs)
Alors c’est parti pour un inventaire à la Prévert! 
Ombres à paupières « peau nue » (UNE Natural Beauty) : j’ai pu avoir des ombres à paupières de cette marque il y a quelque temps avec le magasine « Madame Figaro ». En temps normal, elles sont vendues 16 € pièce. Ici, je les ai eu à 4 € pièce. Il y en a de 2 types : crème (ombres peau nue) et poudre(ombres smufato). les ombres poudre sont bien sans être transcendants mais les fards crème sont une véritables catastrophe ! Je n’ai jamais vu des ombres à paupières qui tenaient aussi mal, même avec une base! La texture est grasse, la couleur est inexistante et en 2h, l’intégralité du produit se retrouve dans le pli de la paupière (très glamour, n’est-ce pas!) Grosse déception! je ne pense pas acheter d’autres produits de cette marque que je trouve très chère pour ce que c’est!
Pierre d’Alun : un déo écolo, qui dure très longtemps, sans paraben, parfum etc etc … Ca n’empêche pas la transpiration et neutralise les odeurs! Pour moi, ça a marché … un certain temps … A force, ça m’a donné … une allergie … pas glop! Et c’était une « vraie », achetée en parapharmacie. Elle fera le bonheur d’une amie qui supporte très bien ce produit. Et je resterai à mes déos en stick ou à bille traditionnels
– Les gloss : j’ai beau faire, les gloss, je ne supporte pas :  ça colle, ça ne tient pas et ça a souvent des goûts un peu bizarres. je suis définitivement pro rouges à lèvres!
– Les vernis nacrés/ clairs : autant je suis fan des vernis à ongles, je n’aime pas ces vernis à ongles : même en mettant plusieurs couches, les vernis clairs et nacrés laissent transparaître les ongles par transparence et je n’aime pas ça.  
Le bain dissolvant Sephora : j’ai adoré ce produit … au début! Je ne nie absolument pas le côté pratique mais, à la longue, mes ongles sont devenus cassants et mous. J’ai mis plusieurs semaines pour récupérer des ongles potables. Donc à fuir! 

Lush : autant j’ai été fan de cette marque au début, autant je ne la supporte plus maintenant : la durée de vie des produits est catastrophiques : ils tournent très vite ou moisissent (c’est la première fois de ma vie que j’ai vu un savon moisir!) En plus, c’est horriblement cher!

– Les crèmes teintées et autobronzants : chez moi, c’est l’effet carotte géante assuré! Donc je continue à garder mon teint d’endive.

– Les fonds de teints de grande surface ou de marque type Sephora : j’en ai essayé des tonnes, j’ai toujours été déçue :  trop foncé et/ou trop jaune et/ou boutons et/ ou fait briller comme le phare de Ouessant! Je reste maintenant fidèle à 2 fonds de teint :  le Face Architect de Sue Uemura (j’en ai fait un article) et le fond de teint HD de Make Up Forever (article à venir)

– les démaquillants en lait :  j’ai beau faire, je n’aime pas les textures lait pour me démaquiller : ça me fait un effet gras sur la peau et je ne me sens pas bien démaquillée. Je préfère largement maintenant l’huile démaquillante ou les mousses démaquillantes (qui se rincent à l’eau)

 

Voilà mes bêtes noires du moment ! 
Vous en trouverez bien d’autres en fouinant sur mon blog !

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